Titre: Robinsone
Auteure: Claire Julliard
Éditions: Médium
Pages: 180
Offert par: Une amie
L'année commence mal, très mal, pour Charlotte. Ses parents sont loin, aux États-Unis, pour leur travail. Sa meilleure amie de toujours, la délation criait gare pour une idiote vulgaire rencontrer en colo. L'ambiance de l'internat lui pèse, avec ses règlements rigides, sa surveillante générale tyrannique et son ennui mortel.
Et surtout, elle appréhende une opération des jambes qui peut la guérir de sa claudication si elle réussit mais la clouer définitivement dans un fauteuil roulant si elle échoue.
Pourtant, Charlotte à son jardin secret qui lui permet de tenir le coup. Au sens figuré du terme, bien sûr, mais aussi au sens propre. C'est une île minuscule sur un étang, caché derrière un terrain vague, qu'elle a découvert par hasard en séchant la cour. Ce jardin est prêt à lui apporter beaucoup. À condition qu'elle accepte de le partager.
Mais pour l'instant, elle pense que l'île ne lui appartiendra que six personnes on apprend l'existence.
Mon avis :
J'ai lu ce livre parce que c'est une de mes amies qui me l'a offert (il y a de cela déjà bien longtemps). À l'époque, le résumé ne m'avait pas du tout emballé ni même la photo en couverture. Le fait aussi, que le nom de l'auteur plus le titre du livre se trouve sur la même ligne gâches un peu tout à mon sens. Aujourd'hui, l'image me plaît plus. Le résumé est toujours moyen, à mon sens.
Pendant un long moment, j'ai apprécié le personnage de Charlotte, mais à la fin, je l'ai détesté. Au cours du récit, elle rencontre un homme plus âgé qu'elle, et je n'ai pas du tout apprécié la tournure que prend l'événement avec ces deux personnages.
Par contre, j'ai bien aimé le côté claudicant de Charlotte ainsi que toutes les questions qu'elle se pose par rapport à l'opération.
Un plus aussi par rapport à ce livre, c'est que les caractères sont assez gros. Inutile donc de plisser les yeux pour en déchiffrer le caractère.
Vu que j'ai dû me forcer, à l'époque, à finir ce livre, je n'irai pas jusqu'à vous le recommander. Ce n'est point un coup de c½ur, mais tout de même, je ne l'ai pas «détesté». À bien réfléchir, c'est surtout la fin du récit que je n'ai pas aimé.
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