J'allais me déplacer lorsqu'une grenouille a fait de même, se révélant à moi. Plus petite que la précédente (voir l'autre article) et aussi plus verte.
Le chant de l'une des grenouilles se rapproche. Je laisse mon trépied là où il est et fait un bout de l'étang. Enfin, j'en aperçois une qui fait gonfler ses poches.
Et qui dégonfle.
Pendant que j'admire la soprano, une autre avait filé. Je l'ai retrouvé plus loin.
La plus grande rencontre du jour est cette grenouille. Arrivée à ce bout de l'étang, j'ai toujours une forte odeur désagréable qui me titille les narines. La pluie de la veille la atténuée, mais elle reste quand même dégoutante. Ce sont les crapauds qui se décompose qui en est la cause. Je dois prendre sur moi pour observer les grenouilles à cet endroit.
Je finis par quitter les grenouilles. J'aperçois alors ce papillon. C'est un Piérides du Navet.
J'entends un chant. Je lève la tête et je vois ce merle noir. J'avais déjà mal à la nuque, cela n'a rien arrangé.
À contre jour, un autre oiseau. Est-ce une fauvette ?
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